Cliquer pour agrandir
Faute d'une meilleure appellation, disons que les « affaires El Maleh-Lamblin et consorts » marquent le pas, du moins dans la presse.
Nul doute qu'elles ressurgiront au fur et à mesure qu'on en apprendra davantage sur les liaisons entre GPF SA et diverses sociétés au Royaume-Uni et dans des paradis fiscaux qui auraient pu réinjecter les bénéfices du trafic de stupéfiants dans de nouvelles livraisons et des placements « blancs », notamment immobiliers.
L'autre volet, celui de l'évasion fiscale, va aussi réémerger un jour ou l'autre.
Outre la trentaine de personnes filochées et prises en photo alors qu'elles recevaient des « colis » ou enveloppes de la part de Mardoché El Maleh, à Paris, le carnet que tenait à Genève Carole El Maleh-Sasson va sans doute permettre d'éplucher une liste de noms de clients de GPF SA